Quand j’étais petit enfant, je me souvenais de l’Angélus qui ponctuait les travaux campagnards. Et puis j’ai grandi, et j’ai oublié. Le temps a passé et sans être une "bête de piété" il aura fallu que votre écrit fasse ressurgir un passé oublié mais non révolu. En son style j’ai aimé et j’aime toujours un grand et talentueux chanteur Armand Mestral qui interprète magnifiquement l’Angélus.
Le chapelet ? mes grands-parents, particulièrement ma grand-mère priait assez souvent avec son chapelet ; je n’ai jamais cherché le pourquoi du comment, mais j’ai toujours respecté sa foi. J’ai renoué avec la prière, le soir avant de dormir. Je ’’cause’’ avec Dieu, cette phrase peut paraître incongrue, mais je m’en fiche. Je ne sais s’Il me répond, car je ne prie jamais pour moi (ou que très rarement) toujours pour les autres, en priorité si j’ose écrire, pour mes enfants. L’on dit que charité bien ordonnée commence par soi-même...
Quand j’étais petit enfant, je me souvenais de l’Angélus qui ponctuait les travaux campagnards. Et puis j’ai grandi, et j’ai oublié. Le temps a passé et sans être une "bête de piété" il aura fallu que votre écrit fasse ressurgir un passé oublié mais non révolu. En son style j’ai aimé et j’aime toujours un grand et talentueux chanteur Armand Mestral qui interprète magnifiquement l’Angélus.
Le chapelet ? mes grands-parents, particulièrement ma grand-mère priait assez souvent avec son chapelet ; je n’ai jamais cherché le pourquoi du comment, mais j’ai toujours respecté sa foi. J’ai renoué avec la prière, le soir avant de dormir. Je ’’cause’’ avec Dieu, cette phrase peut paraître incongrue, mais je m’en fiche. Je ne sais s’Il me répond, car je ne prie jamais pour moi (ou que très rarement) toujours pour les autres, en priorité si j’ose écrire, pour mes enfants. L’on dit que charité bien ordonnée commence par soi-même...
Je vous salue bien courtoisement Monsieur l’Abbé.